Munchhouse : investissez dans l'énergie solaire

ENGIE Green annonce l'ouverture d'une campagne de financement participative, via Lendosphere, dédiée à la centrale solaire de Munchhouse.

Investir dans la transition et l’indépendance énergétiques de son territoire

Cette levée de fonds, dont l'objectif est fixé à 841 000 euros, permet de devenir actionnaire de la centrale solaire de Munchhouse, située sur l’ancienne piste d’un aérodrome militaire désaffecté en Alsace. Pour financer ce projet et participer à la transition énergétique et à la décarbonation du territoire, les prêteurs doivent au préalable s’inscrire sur le site de Lendosphere.

Cet investissement participatif est l’opportunité de placer son épargne dans une centrale solaire en exploitation, dans le cadre d’une opération réservée exclusivement aux habitants du territoire et accessible en ligne, dès 100 € d’investissement.

Un projet construit avec le territoire

ENGIE Green a développé le projet de Munchhouse après avoir été choisi par la Collectivité européenne d'Alsace pour répondre à l’appel d’offre du Ministère de la Transition écologique intitulé : "Transition énergétique du territoire de Fessenheim " remporté en 2019. C’est l'un des 3 projets remportés dans le cadre de cet appel d’offre par ENGIE Green avec les centrales solaires de Volgelsheim et de Ligelios dans le Haut Rhin.

Les 11 millions d’investissement de ce projet sont portés à hauteur de 60% par ENGIE Green, 20% par la CeA et les 20% restants sont financés par l’investissement citoyen grâce à la campagne de financement participatif.

Un projet respectueux de l'environnement

Des fouilles préventives ont été menées par l’Institut National de Recherches Archéologiques Préventives sur le site avant le début du chantier. Elles ont notamment mis à jour des tombes de la période mérovingienne allant du 5ème au 8ème siècle. Des poses de longrines béton sur environ 1 hectare ont été effectuées pour préserver la zone.

Au terme des études environnementales, le projet photovoltaïque a réduit sa surface de 25 à 15 hectares, afin de respecter l’écosystème local en préservant notamment la biodiversité sur la forêt de la Hardt.

Plusieurs mesures en faveur de l’environnement ont été engagées sur ce projet ayant reçu l’avis favorable de la Mission Régionale de l’Autorité Environnementale :

• réduction de la zone de construction pour préserver la pie grièche présente sur une partie du terrain
• préservation d’une partie boisée sur 8 hectares, faisant partie du bois de la Hardt
• 1 000 m² réservés à la replantation et préservation de la potentille de rocher, une plante inscrite sur la Liste Rouge UICN de la Flore menacée de France
• aménagement des clôtures afin de préserver le déplacement de la petite faune locale
• suivi de chantier annuel par un écologue, pendant 3 ans puis tous les 5 ans et ce durant les 20 ans d’exploitation du parc